Datong 26 - 28 Août
Nous somme allés visiter la ville de Datong du 26 au 28 Aout. La ville ne représente aucun intérêt particulier. Elle est très polluée cela se ressent impossible pour nous de courir, parler en marchant était une épreuve! Mais nous avons compris pourquoi la ville était toujours sous un brouillard si épais et dense. Il y a des mines de charbon toujours en activité dans la région autour de Datong. La ville est en reconstruction, beaucoup de bâtiment en travaux, de rues...
Cérémonie boudhique Voilà les fameux pantalon des bébés chinois sans couche !!!
A quelques kilomètres de là on peut encore explorer une autre partie de la Muraille de Chine celle de la ville de Xinyunque. On a découvert un mont de terre qui se prolonge vers l'horizon. Il ne reste plus de pierres, briques celle-ci ont était pillées par les paysans depuis bien longtemps afin de construire leur ferme et habitation. Toutefois cela reste une très belle balade à travers la campagne chinoise. Nous avons rencontré des paysans étonnés de nous voir. Notre guide nous a dit qu'il n'y avait pas beaucoup de touriste qui venait visiter cette section de la Muraille ils allaient plus vers Badaling qui est en très bon état dû a sa rénovation.
Nous avons également visité les grottes de Yungang, jadis connues sous le nom de grottes de Wuzhoushan, elles se trouvent au pied du versant sud des montagnes Wuzhou, dans la vallée de la Shi Li, à 16 km à l'ouest de Datong. Elles se composent de 252 grottes de tailles diverses, abritant plus de 51 000 statues. Il y a actuellement 43 grottes ouvertes au public. Avec de spectaculaires statues de bouddhas. Les grottes de Yungang, à Datong, avec leurs 252 grottes et leurs 51 000 statues, représentent une réussite exceptionnelle de l'art rupestre bouddhique en Chine au Ve et au VIe siècle. Les grottes de Yungang ont été construites sur un laps de temps relativement bref, de 460 à 525 après J.-C., et représentent un chef d'œuvre classique de la première apogée de l'art rupestre bouddhique en Chine. Le site intègre des influences des régions d'Asie du sud et d'Asie centrale dans la culture chinoise, et se distingue en étant la première commande impériale en Chine, reflétant ainsi les ambitions politiques de l'époque. Yungang confère aussi à cet art un esprit clairement sinisé et local, à l'influence prépondérante pour les développements artistiques ultérieurs du pays.
Cérémonie boudhique Voilà les fameux pantalon des bébés chinois sans couche !!!
A quelques kilomètres de là on peut encore explorer une autre partie de la Muraille de Chine celle de la ville de Xinyunque. On a découvert un mont de terre qui se prolonge vers l'horizon. Il ne reste plus de pierres, briques celle-ci ont était pillées par les paysans depuis bien longtemps afin de construire leur ferme et habitation. Toutefois cela reste une très belle balade à travers la campagne chinoise. Nous avons rencontré des paysans étonnés de nous voir. Notre guide nous a dit qu'il n'y avait pas beaucoup de touriste qui venait visiter cette section de la Muraille ils allaient plus vers Badaling qui est en très bon état dû a sa rénovation.
Nous avons également visité les grottes de Yungang, jadis connues sous le nom de grottes de Wuzhoushan, elles se trouvent au pied du versant sud des montagnes Wuzhou, dans la vallée de la Shi Li, à 16 km à l'ouest de Datong. Elles se composent de 252 grottes de tailles diverses, abritant plus de 51 000 statues. Il y a actuellement 43 grottes ouvertes au public. Avec de spectaculaires statues de bouddhas. Les grottes de Yungang, à Datong, avec leurs 252 grottes et leurs 51 000 statues, représentent une réussite exceptionnelle de l'art rupestre bouddhique en Chine au Ve et au VIe siècle. Les grottes de Yungang ont été construites sur un laps de temps relativement bref, de 460 à 525 après J.-C., et représentent un chef d'œuvre classique de la première apogée de l'art rupestre bouddhique en Chine. Le site intègre des influences des régions d'Asie du sud et d'Asie centrale dans la culture chinoise, et se distingue en étant la première commande impériale en Chine, reflétant ainsi les ambitions politiques de l'époque. Yungang confère aussi à cet art un esprit clairement sinisé et local, à l'influence prépondérante pour les développements artistiques ultérieurs du pays.